Idée déco: Terrarium en intérieur

Faire de la décoration revient à embellir un objet ou une pièce… On vous en dit un peu plus dans cet article…

Terrarium en intérieur, pour l’amour de la déco

Faire de la décoration revient à embellir un objet ou une pièce. On peut décorer quelque chose en le peignant, en y collant des affiches, en accrochant des tableaux. Ainsi, la décoration peut s’appliquer aux meubles, aux vases, aux tableaux, aux papiers peints, à la peinture, à la moquette, aux affiches, aux objets. Même le corps humain peut y avoir recours avec des tatouages, des piercings. Souvent pour des décors spéciaux comme au théâtre et au cinéma, la décoration de l’espace scénique est réalisée par un spécialiste, le décorateur, qui se charge de concilier les exigences du metteur en scène avec sa propre conception d’artiste pour créer le cadre dans lequel les acteurs vont évoluer. Nombre d’artistes réputés ont réalisé des décors de pièces de théâtre, de ballets ou d’opéras. Ainsi, le décor et la décoration se disent surtout des travaux d’ornement, de peinture, de tapisserie et tapissage, de sculpture et dorure qui ornent un édifice, un appartement. Aujourd’hui, le décor d’intérieur se partage en une infinité de branches libérales et mécaniques et peut échoir aussi bien à des artisans, menuisiers, peintres ornemanistes, peintres de décor et sculpteurs ornemanistes, tapissiers, qu’à des artistes proprement dits comme des peintres et sculpteurs figuristes, ou des architectes. La peinture de décor s’applique à feindre des matériaux comme le bois le marbre, le granit, le bronze et les assises de pierre. Le doreur rehausse les moulures de feuilles d’or. Les métiers de décorateur d’intérieur ou d’architectes d’intérieurs procèdent des arts décoratifs. Milieu confiné imitant le biotope de certaines espèces animales et ou végétales, le terrarium est l’équivalent d’un aquarium dont l’eau serait remplacée par un substrat comme la terre ou le sable de quelques centimètres d’épaisseur disposé sur le fond. Il peut être de formes et de tailles diverses, et doit s’adapter aux besoins des animaux ou des végétaux qui vont y vivre. Les différentes caractéristiques et contraintes vont donc dépendre de ce qui est amené à vivre dedans. La grande majorité des terrariums est en verre, sur le modèle des aquariums. On rencontre toutefois des terrariums en matière plastique comme le plexiglas ou le polystyrène extrudé, en métal, ou en bois. Dans certains cas nécessitant une forte aération, des terrariums partiellement ou totalement grillagés sont utilisés. Pour les réaliser, le choix des matériaux est lié au poids, à la résistance à l’humidité, au coût ou encore à la qualité de finition désirée, selon que ce soit un terrarium décoratif ou strictement fonctionnel par exemple. La surface au sol doit donc être adaptée au nombre des espèces présentes, à leur taille adulte et à leur besoin en espace. Quant à la hauteur, elle peut également être importante pour les grandes plantes, les plantes grimpantes et les espèces animales arboricoles. Autre caractéristique nécessaire à la croissance des plantes et à la grande majorité des animaux, la lumière. Si le soleil seul ne suffit pas, il conviendra de compléter artificiellement l’apport de lumière. Selon les besoins des espèces, l’éclairage sera plus ou moins puissant et plus ou moins chauffant comme c’est nécessaire pour certains reptiles qui ont besoin de se chauffer au soleil. Concernant certaines plantes ou d’animaux diurnes, un apport spécifique en ultraviolet est nécessaire. Les ultraviolets sont fournis par des néons émettant dans le spectre ou encore par une lampe à sodium. Il est aussi de plus en plus fréquent d’utiliser des lampes à diode électroluminescente comme source de lumière. Un régulateur jour nuit permet d’automatiser l’alternance de périodes d’éclairage et d’extinction. Ainsi, la durée du jour et de la nuit va dépendre des conditions d’origine des espèces, mais également de la saison. Autre paramètre important, la température, en particulier pour les animaux et plantes fortement inféodés à leur biotope d’origine. Le chauffage peut être fourni par plusieurs moyens, soit par des lampes chauffantes ou lampes infrarouges en céramique fournissant un chauffage directionnel et souvent localisé, soit par des plaques chauffantes, placées sous ou derrière le terrarium, fournissant une base de température. Peuvent aussi assurer le chauffage, des cordons chauffants, placés dans le sol, et qui fournissent un chauffage par le sol, ou des chauffages par air qui envoient de l’air chaud dans le terrarium permettant de réguler la température globale. La plupart des animaux apprécient des différences de température au sein du terrarium durant la journée, ce qui leur permet de trouver eux-mêmes leur température idéale en se déplaçant comme pour les reptiles, très dépendants de la température. Une chute de température la nuit est souvent nécessaire, comme pour l’éclairage, au bien-être des espèces maintenues en captivité. Ces variations de températures doivent être cohérentes avec celles rencontrées dans le biotope d’origine des espèces. Il existe certaines plantes qui sont également sujettes à de telles variations de températures engendrées par le cycle nycthéméral de leur biotope d’origine. C’est le cas par exemple des espèces poussant en altitude dans la ceinture tropicale, où des écarts thermiques entre le jour et la nuit peuvent dépasser 15 °C. Pour recréer de telles conditions, des solutions de refroidissement existent, mais aucune n’étant commercialisée à ce jour, il incombe au propriétaire du terrarium de concevoir lui-même un tel système. Le plus souvent, en exploitant un groupe froid de réfrigérateur, ou grâce à des cellules à effet Peltier. Nombre de plantes et de très nombreux reptiles ont des tolérances limitées vis-à-vis des écarts d’humidité.il est donc important de réguler l’hygrométrie. Elle est faite grâce à plusieurs techniques comme la pulvérisation manuelle régulière d’eau tiède, l’évaporation d’eau dans le terrarium, ou encore les systèmes de pulvérisation automatisés. Selon les espèces, les besoins en humidité varient du très sec pour les espèces issues de milieux désertiques à très humide, et proche de 100 % pour certains biotopes. Certaines espèces animales nécessitent des variations d’hygrométrie au cours de la journée, voire une hygrométrie différente selon les endroits du terrarium. Autre composante importante, le substrat, la matière composant le sol. Dans les cas les plus utilitaires, du carton ou du papier absorbant est utilisé pour les animaux. D’autres substrats utilisés sont par exemple la terre, la tourbe et la sphaigne, le sable, les copeaux de divers arbres, des fibres végétales. Son choix va dépendre des besoins des plantes, donc du type de terre, ou des animaux, besoin de creuser des galeries par exemple, de l’humidité, résistance à la moisissure et conservation de l’eau, de la dangerosité, risque d’absorption par un animal et de l’aspect esthétique. Pour l’entretien, les soins aux plantes et aux animaux, l’ajout et le retrait de nourriture, un accès à l’intérieur du terrarium est nécessaire. Dans le cas d’animaux, une ouverture frontale est préférable car l’accès par le haut rappelle à beaucoup d’espèces l’arrivée d’un prédateur, et génère un stress. Les aérations sont importantes pour le renouvellement de l’air mais aussi pour éviter la stagnation d’air humide et vicié, propice au développement de moisissures et de bactéries, surtout dans les terrariums humides et chauds. Le schéma classique consiste à placer une aération basse et une aération haute de l’autre côté du terrarium, permettant ainsi la circulation de l’air par convection. Dans certains cas une ou plusieurs faces du terrarium sont grillagées, pour des espèces nécessitant une très forte aération voire un courant d’air permanent comme c’est le cas pour quelques espèces de caméléons. Mais l’utilisation d’un terrarium est limitée à certaines espèces animales ou végétales. Au-delà d’une certaine taille il n’est en général plus possible de fabriquer un terrarium, les plus grands ayant en général la taille d’une petite pièce. Il existe quelques exceptions dans le cas de bâtiments complets aménagés pour reproduire un biotope donné. Certains biotopes sont également difficiles à reproduire, comme les milieux très froids. Il est donc usuel de rencontrer des terrariums dans plusieurs cas comme l’élevage d’animaux qui ne peuvent vivre en liberté dans un logement, les animaux dangereux, les animaux vivant dans un biotope trop différent, ou ceux susceptibles de s’enfuir. Aussi pour le maintien de plantes issues d’un biotope trop différent, ou pour la reproduction d’espèces dans des conditions optimales. C’est une nécessité pour l’élevage de la plupart des nouveaux animaux de compagnie, en particulier les reptiles de toutes sortes. De nos jours, un mini-jardin dans un pot ou un bocal n’a jamais été aussi tendance. Les terrariums apportent en définitive de la verdure à notre intérieur, ne prennent pas de place, et ne demandent pas beaucoup d’entretien. Vous pouvez réaliser le vôtre vous-même.

Élément de décoration pratique, pas cher, simple d’installation et d’entretien

Tout le monde n’ayant pas la chance d’avoir devant sa maison un jardin digne de ce nom, il faut bien trouver des solutions de repli pour ajouter un peu de verdure dans votre quotidien. Quand on vit en ville dans un petit espace, on ressent souvent le besoin de partir se ressourcer et de profiter d’un petit coin de nature. Quelle que soit la saison, les plantes apportent un coin de verdure et de légèreté à notre intérieur. En plus d’être un excellent élément de décoration, elles détoxifient l’air et nous adorons nous en occuper. On peut les aimer suspendues comme une jardinière murale, mais aussi sous forme de potager ou encore en tant que cloison en macramé. Mais il arrive que nos plantes meurent soit par manque d’eau ou à l’inverse car nous les avons trop arrosés. Que ce soit pour celles qui oublient de s’en occuper ou celles qui aiment les collectionner, il y a la solution pour préserver ce coin de verdure sans avoir à s’en occuper.

Les terrariums, un mini-jardin d’intérieur

Faciles à réaliser, Les terrariums sont ces petites créations originales qui fleurissent de plus en plus via internet. On aime les faire dans des récipients originaux et y glisser les petites plantes que nous préférons. On peut les offrir ou les garder pour soi, grâce à leurs caractéristiques ils ne demandent pas beaucoup d’entretien, donc nul besoin d’avoir la main verte. Pour en réaliser un vous-même, choisissez un joli contenant. Il faut qu’il soit en verre pour laisser passer la lumière et avec une ouverture assez grande pour y passer les plantes. Pourraient faire l’affaire, un bocal, un aquarium, un vase ou une vaisselle. Remplissez-le de terre la base du contenant, plus ou moins selon vos plantes, mais ce terreau riche pour jeunes pousses doit occuper environ 3/4 du bocal. Choisissez des plantes grasses et aimant l’humidité comme des succulentes, des fougères ou encore de la mousse. Dépotez chaque plante, dégagez ses racines et insérez-la dans la base de terreau. Disposez ensuite les plantes harmonieusement. Placez votre terrarium près d’une fenêtre, à l’abri du froid mais il ne doit pas être face au soleil sinon les plantes vont cuire. Arrosez-le à l’aide d’un pulvérisateur. La fréquence d’arrosage varie selon s’il est fermé ou non. Pour ceux et celles qui ont la main verte ou qui ont envie de s’essayer à la culture bio, n’hésitez pas à vous renseigner dans une jardinerie pour savoir quelles plantes sont les plus faciles à entretenir ou quels fruits et légumes sont les plus faciles à cultiver. Le plaisir est immense de faire son terrarium soi-même et de le contempler.

Peut convenir pour les plantes comme pour les animaux

Vous connaissez sans doute le charme des boutures si vous avez la main verte. Demandant un peu de savoir-faire mais aussi une bonne dose de chance et d’expériences, le bouturage permet de multiplier vos végétaux préférés. Les boutures nécessitent à la fois chaleur et humidité pour bien se développer. Voici pour vous, une idée à la fois pratique et esthétique pour réaliser vos plantations dans des pots et bocaux en verre de récupération. Par exemple, on peut utiliser un vieux pot de confiture pour y planter ses boutures et réaliser son mini-terrarium. La transparence du verre vous permettra de surveiller l’avancée de vos jeunes pousses tout en mettant en avant la beauté des végétaux. Par expérience, placez plutôt vos boutures sur le rebord intérieur de la fenêtre, cette dernière favorisera l’effet serre avec l’aide des rayons du soleil et vos boutures ne s’en porteront que mieux. Pour l’arrosage, préférez un pulvérisateur pour plus d’efficacité et essayez de trouver le juste milieu. N’hésitez pas à toucher la terre pour vérifier qu’elle est humide. Préférez un arrosage parcimonieux mais régulier. Il faudra attendre 2 à 3 mois avant de pouvoir planter vos boutures, une fois qu’elles auront créé leur propre système racinaire. Pour des boutures réalisées entre avril et mai par exemple, une période propice, vous pourriez les replanter en septembre.

Pour les espèces animales, si la plupart ne sont guère exigeantes, d’autres demanderont beaucoup plus d’attention, car elles grandissent rapidement et peuvent atteindre des tailles considérables. Les serpents sont un groupe de reptiles de plus en plus appréciés par les amateurs. La diversification de plus de 2 500 espèces dans les différents habitats se répartit sur presque toute la planète à l’exception des régions polaires. Le régime alimentaire varie également en fonction des espèces et des habitats mais la majorité se nourrit de petits mammifères. La facilité de maintenance et de reproduction en fait des favoris. Dans la même catégorie que les serpents, les lézards se répandent de plus en plus chez les terrariophiles. Leur régime alimentaire varie des végétaux aux insectes, rongeurs, œufs, oiseaux et même cadavres d’animaux pour les plus gros varans. La reproduction est plus difficile que pour les serpents, mais leur maintenance est de mieux en mieux maîtrisée en captivité et les reproductions sont plus fréquentes. Autre variété assez fréquentes chez les terrariophiles, les tortues. Mais elles sont beaucoup plus rares que les serpents et lézards. Ceci est sans doute dû à la difficulté de reproduction qui repousse de nombreux terrariophiles, bien que ces dernières années, leur nombre ne cesse d’augmenter. La répartition varie sur la planète entre les zones intertropicales et tempérées et on dénombre actuellement environ 260 espèces. En ce qui concerne le régime alimentaire, il varie selon les espèces. Beaucoup sont omnivores mais d’autres ont des alimentations beaucoup plus spécifiques. Avec plus de 4 300 espèces, les amphibiens restent malgré tout plus rares dans les élevages. Ces animaux sont plus délicats à maintenir et à reproduire et demandent souvent une alimentation riche et variée. Bien que généralement situés dans les zones humides ou aquatiques, on en retrouve également dans les déserts et certaines régions arctiques. Se nourrissant en général d’invertébrés, certains sont également omnivores, dévorant tout type d’aliments. Certaines grosses espèces se nourrissent même de petits mammifères et d’oisillons tombés du nid. Pour finir, les invertébrés, dépassant largement 1 000 000 d’espèces, sont un groupe très important, sachant de plus que de nouvelles espèces sont découvertes tous les ans. Les espèces nous concernant sont celles couramment rencontrées dans les élevages, c’est-à-dire les phasmes, blattes, criquets, mantes, coléoptères, mygales entre autres. Leur localisation géographique est répartie sur toute la planète et dans tous les types d’habitat, du plus chaud au plus froid et du plus sec au plus mouillé. Les invertébrés sont très rencontrés dans les élevages, et l’on retrouve également dans les écoles de petits élevages de phasmes ou criquets entre autres. Ces élevages sont très faciles pour la plupart et permettent d’observer des cycles complets dans une durée courte, d’où l’intérêt porté à ceux-ci. Pour entreprendre l’installation d’un terrarium il faut une source d’information adéquate et au matériel nécessaire au bien bien-être de la plate ou de l’animal choisi. Mais c’est une activité tout à fait passionnante, en plus d’assurer un décor nouveau.